Rafales de tentatives illégales d’expulsion vers le Soudan: Francken
persiste et signe
http://www.gettingthevoiceout.org/rafales-de-tentatives-illegales-dexpulsion-vers-le-soudan/
APPEL À SE RASSEMBLER ce jeudi 12/10/2017 17h30 devant l’Office des
Étrangers :
LIBÉREZ-LES TOUS…… FRANCKEN et MICHEL BUITEN!
D’heure en heure, les nouvelles qui nous arrivent des centres fermés
sont toujours plus inquiétantes: le gouvernement belge, tout en sachant
que les rapatriements vers le Soudan sont illégaux (ainsi que l’a
confirmé ce lundi 9 octobre le Tribunal de première instance de Liège,
voir
https://www.liguedh.be/espace-presse/138-communiques-de-presse-2017/2908-le-rapatriement-des-soudanais-est-un-acte-illegal
), multiplie de façon vertigineuse les tentatives d’expulsions de
personnes identifiées comme soudanaises.
Ce samedi 7 octobre nous avons appris de source sûre que des expulsions
sont programmées tous les jours de la semaine : 2 le 7 octobre, 4 le
lendemain, et ainsi de suite… Au total, la délégation soudanaise reçue
en septembre a délivré 43 laissez-passer vers Khartoum ! Les droits
élémentaires des détenus soudanais détenus dans nos centres fermés sont
bafoués: le personnel des centres leur dit qu’ils n’auraient pas droit à
un téléphone ni à un avocat, ce qui est faux (ou, plus subtilement, il
leur indique qu’ils n’en ont pas besoin).
Une solution contre l’expulsion serait d’introduire une demande d’asile,
cependant la majorité d’entre eux ne font aucune confiance aux autorités
belges et refusent de faire une demande d’asile à partir d’un centre fermé.
La politique appliquée par l’Office des étrangers est la suivante: si
une personne ne demande pas l’asile, c’est qu’elle est disposée à
rentrer dans son pays. Citons ici la porte-parole de l’OE : “S’ils
demandent l’asile ou s’ils introduisent un recours, c’est leur choix,
leur liberté. S’ils ont la moindre crainte pour leur sécurité, ils
peuvent demander l’asile en Belgique et leurs demandes seront traitées.
S’ils ne le font pas, on part du principe qu’ils n’ont pas peur pour
leur vie. Mais il est vrai qu’étant donné qu’ils sont en centres fermés,
qu’ils ont été identifiés et qu’on a obtenu des laissez-passer, notre
objectif est de les rapatrier, non de les maintenir éternellement dans
des centres fermés.” Ce raccourci est une interprétation de la loi plus
que questionnable.
La loi est très claire, la confrontation avec le pays d’origine n’est
autorisée qu’une fois une demande d’asile refusée en dernière instance.
Même les membres du gouvernement en faveur des politiques de retour
“volontaire” vers les pays d’origine remettent sévèrement en question
cette nouvelle manière d’appliquer la loi.
Nous sommes clairement opposés à ces politiques de retour, mais
soulignons ici que, même dans la logique de la politique en vigueur, les
procédures ne sont pas respectées.
“Comme Theo Francken se rend bien compte qu’en le faisant, il viole la
Convention européenne des Droits de l’homme en son article 3 – le
Conseil du Contentieux l’a déjà dit – il le fait comme un « bandit »”, a
dit le président de la Ligue des droits de l’Homme Alexis Deswaef.
“Ils m’ont donné un ordre de quitter le territoire, puis ils me mettent
en prison. C’est quoi ça? Ils m’empêchent de quitter le territoire. Moi,
jamais de la vie je ne resterai en Belgique. Je VEUX quitter ce
territoire de merde et on m’en empêche” (témoignage d’un détenu soudanais).
Nous parlons de dizaines et de dizaines de personnes (au moins 26 dans
le seul centre fermé de Vottem et 27 dans le cente fermé de Merksplas!),
dont des mineurs. Avocats et militants cherchent à se mettre en contact
avec ces détenus, mais ce n’est pas toujours évident: raflés au parc
Maximilien ou à la Gare du Nord à Bruxelles, interrogés par des agents
secrets soudanais, ils se méfient justement de tout et de tous.
Certains détenus, qui n’ont pas rencontré la délégation venue du Soudan,
sont encore amenés ces derniers jours à l’ambassade du Soudan pour
l’identification et la délivrance d’un laissez-passer. Ceci veut dire
que, en plus des 43 identifiés par la délégation, d’autres seront
identifiés par l’ambassade en vue d’une expulsion.
Le gouvernement Michel, foulant aux pieds les obligations
internationales et les jugements des tribunaux belges, n’a qu’un
objectif: faire paraitre la Belgique comme un pays hostile aux
migrations et décourager l’arrivée d’autres réfugiés sur son territoire,
sans considération aucune du devenir des expulsés.
Suite à l’arrêt du tribunal de Liège, Francken a déclaré qu’il fera
appel mais qu’entre-temps il continuera à expulser les Soudanais des
autres centres qui d’après lui ne sont pas concernés par cette décision.
Qui sont les “illégaux”, les “criminels”? : Michel, Francken et leur
bande, qui abusent de leur pouvoir pour envoyer à la détresse et à la
mort des dizaines de réfugiés.
APPEL À SE RASSEMBLER LE jeudi 12/10/2017 17h30 à l’Office des
Étrangers, Chaussée d’Anvers 59B (Gare du Nord)
LIBÉREZ-LES TOUS…… FRANCKEN et MICHEL BUITEN!
CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR:
-Si vous êtes en contact direct ou indirect avec des migrants soudanais,
partagez ces informations et insistez sur le fait qu’ils peuvent refuser
la première tentative d’expulsion. Au moins quatre d’entre eux
l’auraient fait. Mais combien savent qu’ils ont ce droit? Et que va-t-il
se passer lors de la deuxième tentative d’expulsion “par la force ” et
souvent déjà avec escorte policière ?
– Ils peuvent introduire, via un avocat, un recours contre leur
enfermement au CCE dans les 10 jours de leur arrestation, et devraient
être libérés.
– Si les avocats arrivent à entrer en contact avec eux, ils font
actuellement une demande de libération, seul moyen juridique pour
éventuellement les libérer.
CE QUE VOUS POUVEZ FAIRE:
– Participer en masse au rassemblement du 12 octobre pour dénoncer le
comportement criminel du gouvernement
– Écrivez, télephonez, faxez à l’ambassade du Soudan pour dénoncer la
délivrance de laissez-passer à leurs ressortissants
AMBASSADE SOUDAN
Avenue F. D. Roosevelt 124
1050 IXELLES
AMBASSADEUR Mutrif SIDDIG ALI NIMMERY
+32 2 647 51 59
+32 2 647 94 94
fax +32 2 648 34 99
sudanbx@yahoo.com
http://www.sudanmfa.com
– Ecrivez à Egyptair, SN Airlines, Turkish Airlines et Ethiopian
Airlines, qui organisent ces rapatriements via La Caire, Istamboul et
Doha, pour dénoncer leur complicité dans ces expulsions illégales
(coordonnées plus bas).
– Répondez aux appels à mobilisation à l’aéroport (diffusés via Getting
the voice out et la page Facebook “Stop Deportations Info&Actions”) :
les personnes ont le droit de refuser leur première tentative
d’expulsionm mais à la deuxième tentative elles seront mises sur le vol
de force avec escorte policière. C’est la que nous devons être à
l’aéroport!!!
– Rassemblez-vous devant les centres fermés en soutien aux détenus et
appelez tous les centres pour signaler la présence de Soudanais et
exprimer votre indignation concernant ces arrestations et ces expulsions
(coordonnées plus bas).
– Submergez de messages de protestations les représentants criminels de
ce gouvernement (coordonnées plus bas).
COMPAGNIES AERIENNES
Egyptair Airlines Brussels National Airport PO Box 115 1930 Zaventem
customeraff@egyptair.com
Phone
Reservation:
+32 (0) 2 219 16 14
Airport:
+32 2 753 2270
Fax
Reservation:
+32 2 219 36 81
Airport:
+32 2 725 42 68
Facebook https://www.facebook.com/EGYPTAIR
Twittre @EGYPTAIR
Brussels Airlines
Email :customer.relations@brusselsairlines.com
Fax= 027233599 / 02/7238496 / 027534931
Tél 078 188889 / 027232345 /027232362
https://www.facebook.com/brusselsairlines
Leur contacts presse
Vice Président External Communication – Porte-parole
Email: geert.sciot@brusselsairlines.com
Tél: +32 (0)2 723 84 00
Mobile: +32 (0)477 77 49 11
Vice Président Corporate Communications – Porte-parole
Email: wencke.lemmes@brusselsairlines.com
Tél: +32 (0)2 723 85 11
Mobile: +32 (0)477 61 86 45
Media Relations Manager – Porte-parole + médias sociaux
Email: kim.daenen@brusselsairlines.com
Tél: +32 (0) 2 723 84 55
Mobile: +32 (0) 479 69 36 48
Turkish Airlines
Avenue du Boulevard 21, 1210 Bruxelles, Belgique
+32 2 620 08 49
0032(0) 27203468
0032(0)5001939
Fax 0032(0)27532670
bru.airport@thy.com
bru.sales@thy.com
Ethiopian airlines
Belgium +32 289 483 03
For Reservations, Sales, arrival/departure, ShebaMiles, and other enquiries
Toll free: 3228948303
General Sales Agent
Address: Kales Airline Services, Park Hill, J.E. Mommaertslaan 18A, 1831
Diegem
E-mail:et.be@kales.com
Phone:0032 2 716 0060
Fax:
+32 2 716 0086
LES CENTRE FERMéS
Le 127bis:Le centre de retour 127 bis à Steenokkerzeel
Tervuursesteenweg 300, 1820 Steenokkerzeel
Tel. +32 2 7550000
Fax. +32 2 7598168
Le caricole :
Chaussée de Tervuren 302, 1820 Steenokkerzeel
TEL: 027197110/09
FAX/ 02/759.81.68
Le Centre pour Illégaux de Vottem (CIV)
Visé Voie 1, 4041 Vottem
tel. +32 4 228 89 00
fax. +32 4 228 89 13
Le Centre pour Illégaux de Merksplas (CIM)
Steenweg op Wortel 1 /A, 2330 Merksplas
tel. +32 14 63 91 10
fax. +32 14 63 91 20
Le Centre pour Illégaux de Bruges (CIB)
Zandstraat 150, B-8200 Bruges
Tél. +32 50451040
Fax. +32 50315956
Le centre de retour 127 bis à Steenokkerzeel
Tervuursesteenweg 300, 1820 Steenokkerzeel
Tel. +32 2 7550000
NOS Décideurs
Le centre de retour 127 bis à Steenokkerzeel (120 places -2,000 people)
Tervuursesteenweg 300, 1820 Steenokkerzeel
Tel. +32 2 7550000
Fax. +32 2 7598168
Nos décideurs
F.Roosemont
Directeur de l’Office des Etrangers
Bur_Presse@dofi.fgov.be T02 793 80 31 (NL – EN) – 02 79380 30 (FR), Fax
02 274 66 40
Charles Michel
Premier Ministre
Tél: 02 501 02 11 Fax: 02512 69 52 e-mail:charles.michel@premier.fed.be
Jan Jambon
Vice Premier Ministre et Ministre del’Intérieur
tél: 02 504 85 13 Fax:02 504 85 00 email:kabinet.jambon@ibz.fgov.be
Theo Francken
Secrétaire d’Etat à l’Asile etla Migration
Tél: 02 206 14 21– theo.francken@n-va.be kab.francken@ibz.fgov.be
Didier Reynders
Téléphone : 02 501 85 91 E-mailcontact.reynders@diplobel.fed.be
persiste et signe
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APPEL À SE RASSEMBLER ce jeudi 12/10/2017 17h30 devant l’Office des
Étrangers :
LIBÉREZ-LES TOUS…… FRANCKEN et MICHEL BUITEN!
D’heure en heure, les nouvelles qui nous arrivent des centres fermés
sont toujours plus inquiétantes: le gouvernement belge, tout en sachant
que les rapatriements vers le Soudan sont illégaux (ainsi que l’a
confirmé ce lundi 9 octobre le Tribunal de première instance de Liège,
voir
https://www.liguedh.be/espace-presse/138-communiques-de-presse-2017/2908-le-rapatriement-des-soudanais-est-un-acte-illegal
), multiplie de façon vertigineuse les tentatives d’expulsions de
personnes identifiées comme soudanaises.
Ce samedi 7 octobre nous avons appris de source sûre que des expulsions
sont programmées tous les jours de la semaine : 2 le 7 octobre, 4 le
lendemain, et ainsi de suite… Au total, la délégation soudanaise reçue
en septembre a délivré 43 laissez-passer vers Khartoum ! Les droits
élémentaires des détenus soudanais détenus dans nos centres fermés sont
bafoués: le personnel des centres leur dit qu’ils n’auraient pas droit à
un téléphone ni à un avocat, ce qui est faux (ou, plus subtilement, il
leur indique qu’ils n’en ont pas besoin).
Une solution contre l’expulsion serait d’introduire une demande d’asile,
cependant la majorité d’entre eux ne font aucune confiance aux autorités
belges et refusent de faire une demande d’asile à partir d’un centre fermé.
La politique appliquée par l’Office des étrangers est la suivante: si
une personne ne demande pas l’asile, c’est qu’elle est disposée à
rentrer dans son pays. Citons ici la porte-parole de l’OE : “S’ils
demandent l’asile ou s’ils introduisent un recours, c’est leur choix,
leur liberté. S’ils ont la moindre crainte pour leur sécurité, ils
peuvent demander l’asile en Belgique et leurs demandes seront traitées.
S’ils ne le font pas, on part du principe qu’ils n’ont pas peur pour
leur vie. Mais il est vrai qu’étant donné qu’ils sont en centres fermés,
qu’ils ont été identifiés et qu’on a obtenu des laissez-passer, notre
objectif est de les rapatrier, non de les maintenir éternellement dans
des centres fermés.” Ce raccourci est une interprétation de la loi plus
que questionnable.
La loi est très claire, la confrontation avec le pays d’origine n’est
autorisée qu’une fois une demande d’asile refusée en dernière instance.
Même les membres du gouvernement en faveur des politiques de retour
“volontaire” vers les pays d’origine remettent sévèrement en question
cette nouvelle manière d’appliquer la loi.
Nous sommes clairement opposés à ces politiques de retour, mais
soulignons ici que, même dans la logique de la politique en vigueur, les
procédures ne sont pas respectées.
“Comme Theo Francken se rend bien compte qu’en le faisant, il viole la
Convention européenne des Droits de l’homme en son article 3 – le
Conseil du Contentieux l’a déjà dit – il le fait comme un « bandit »”, a
dit le président de la Ligue des droits de l’Homme Alexis Deswaef.
“Ils m’ont donné un ordre de quitter le territoire, puis ils me mettent
en prison. C’est quoi ça? Ils m’empêchent de quitter le territoire. Moi,
jamais de la vie je ne resterai en Belgique. Je VEUX quitter ce
territoire de merde et on m’en empêche” (témoignage d’un détenu soudanais).
Nous parlons de dizaines et de dizaines de personnes (au moins 26 dans
le seul centre fermé de Vottem et 27 dans le cente fermé de Merksplas!),
dont des mineurs. Avocats et militants cherchent à se mettre en contact
avec ces détenus, mais ce n’est pas toujours évident: raflés au parc
Maximilien ou à la Gare du Nord à Bruxelles, interrogés par des agents
secrets soudanais, ils se méfient justement de tout et de tous.
Certains détenus, qui n’ont pas rencontré la délégation venue du Soudan,
sont encore amenés ces derniers jours à l’ambassade du Soudan pour
l’identification et la délivrance d’un laissez-passer. Ceci veut dire
que, en plus des 43 identifiés par la délégation, d’autres seront
identifiés par l’ambassade en vue d’une expulsion.
Le gouvernement Michel, foulant aux pieds les obligations
internationales et les jugements des tribunaux belges, n’a qu’un
objectif: faire paraitre la Belgique comme un pays hostile aux
migrations et décourager l’arrivée d’autres réfugiés sur son territoire,
sans considération aucune du devenir des expulsés.
Suite à l’arrêt du tribunal de Liège, Francken a déclaré qu’il fera
appel mais qu’entre-temps il continuera à expulser les Soudanais des
autres centres qui d’après lui ne sont pas concernés par cette décision.
Qui sont les “illégaux”, les “criminels”? : Michel, Francken et leur
bande, qui abusent de leur pouvoir pour envoyer à la détresse et à la
mort des dizaines de réfugiés.
APPEL À SE RASSEMBLER LE jeudi 12/10/2017 17h30 à l’Office des
Étrangers, Chaussée d’Anvers 59B (Gare du Nord)
LIBÉREZ-LES TOUS…… FRANCKEN et MICHEL BUITEN!
CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR:
-Si vous êtes en contact direct ou indirect avec des migrants soudanais,
partagez ces informations et insistez sur le fait qu’ils peuvent refuser
la première tentative d’expulsion. Au moins quatre d’entre eux
l’auraient fait. Mais combien savent qu’ils ont ce droit? Et que va-t-il
se passer lors de la deuxième tentative d’expulsion “par la force ” et
souvent déjà avec escorte policière ?
– Ils peuvent introduire, via un avocat, un recours contre leur
enfermement au CCE dans les 10 jours de leur arrestation, et devraient
être libérés.
– Si les avocats arrivent à entrer en contact avec eux, ils font
actuellement une demande de libération, seul moyen juridique pour
éventuellement les libérer.
CE QUE VOUS POUVEZ FAIRE:
– Participer en masse au rassemblement du 12 octobre pour dénoncer le
comportement criminel du gouvernement
– Écrivez, télephonez, faxez à l’ambassade du Soudan pour dénoncer la
délivrance de laissez-passer à leurs ressortissants
AMBASSADE SOUDAN
Avenue F. D. Roosevelt 124
1050 IXELLES
AMBASSADEUR Mutrif SIDDIG ALI NIMMERY
+32 2 647 51 59
+32 2 647 94 94
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sudanbx@yahoo.com
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– Ecrivez à Egyptair, SN Airlines, Turkish Airlines et Ethiopian
Airlines, qui organisent ces rapatriements via La Caire, Istamboul et
Doha, pour dénoncer leur complicité dans ces expulsions illégales
(coordonnées plus bas).
– Répondez aux appels à mobilisation à l’aéroport (diffusés via Getting
the voice out et la page Facebook “Stop Deportations Info&Actions”) :
les personnes ont le droit de refuser leur première tentative
d’expulsionm mais à la deuxième tentative elles seront mises sur le vol
de force avec escorte policière. C’est la que nous devons être à
l’aéroport!!!
– Rassemblez-vous devant les centres fermés en soutien aux détenus et
appelez tous les centres pour signaler la présence de Soudanais et
exprimer votre indignation concernant ces arrestations et ces expulsions
(coordonnées plus bas).
– Submergez de messages de protestations les représentants criminels de
ce gouvernement (coordonnées plus bas).
COMPAGNIES AERIENNES
Egyptair Airlines Brussels National Airport PO Box 115 1930 Zaventem
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Reservation:
+32 (0) 2 219 16 14
Airport:
+32 2 753 2270
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Airport:
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Brussels Airlines
Email :customer.relations@brusselsairlines.com
Fax= 027233599 / 02/7238496 / 027534931
Tél 078 188889 / 027232345 /027232362
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Leur contacts presse
Vice Président External Communication – Porte-parole
Email: geert.sciot@brusselsairlines.com
Tél: +32 (0)2 723 84 00
Mobile: +32 (0)477 77 49 11
Vice Président Corporate Communications – Porte-parole
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Tél: +32 (0)2 723 85 11
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Turkish Airlines
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+32 2 620 08 49
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0032(0)5001939
Fax 0032(0)27532670
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Diegem
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Phone:0032 2 716 0060
Fax:
+32 2 716 0086
LES CENTRE FERMéS
Le 127bis:Le centre de retour 127 bis à Steenokkerzeel
Tervuursesteenweg 300, 1820 Steenokkerzeel
Tel. +32 2 7550000
Fax. +32 2 7598168
Le caricole :
Chaussée de Tervuren 302, 1820 Steenokkerzeel
TEL: 027197110/09
FAX/ 02/759.81.68
Le Centre pour Illégaux de Vottem (CIV)
Visé Voie 1, 4041 Vottem
tel. +32 4 228 89 00
fax. +32 4 228 89 13
Le Centre pour Illégaux de Merksplas (CIM)
Steenweg op Wortel 1 /A, 2330 Merksplas
tel. +32 14 63 91 10
fax. +32 14 63 91 20
Le Centre pour Illégaux de Bruges (CIB)
Zandstraat 150, B-8200 Bruges
Tél. +32 50451040
Fax. +32 50315956
Le centre de retour 127 bis à Steenokkerzeel
Tervuursesteenweg 300, 1820 Steenokkerzeel
Tel. +32 2 7550000
NOS Décideurs
Le centre de retour 127 bis à Steenokkerzeel (120 places -2,000 people)
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Nos décideurs
F.Roosemont
Directeur de l’Office des Etrangers
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02 274 66 40
Charles Michel
Premier Ministre
Tél: 02 501 02 11 Fax: 02512 69 52 e-mail:charles.michel@premier.fed.be
Jan Jambon
Vice Premier Ministre et Ministre del’Intérieur
tél: 02 504 85 13 Fax:02 504 85 00 email:kabinet.jambon@ibz.fgov.be
Theo Francken
Secrétaire d’Etat à l’Asile etla Migration
Tél: 02 206 14 21– theo.francken@n-va.be kab.francken@ibz.fgov.be
Didier Reynders
Téléphone : 02 501 85 91 E-mailcontact.reynders@diplobel.fed.be





