Activités Acrata novembre/décembre 2016 – Activiteiten Acrata november/december 2016 (Nederlands onderaan)
Jeudi 10 novembre – 19h30
Discussion autour de la répression contre des anarchistes et des antifascistes de La Haye
Au cours de l’année passée, des anarchistes et des antifascistes de La Haye (NL) ont eu de plus en plus affaire à la répression. De nombreuses mesures répressives visant à museler le mouvement anarchiste sont issues directement du bureau du bourgmestre.
À cette fin, le bourgmestre a promulgué une interdiction de territoire contre un certain nombre d’anarchiste pour le Schilderswijk, un quartier d’immigration où une insurrection ayant duré plusieurs jours a éclaté après que la police ait assassiné Mitch Henriquez en 2015. Le bourgmestre a aussi demandé 50000 euros d’indemnités après l’expulsion du centre social De Vloek, squatté pendant 13 ans. Il essaye aussi de fermer le Centre Autonome. De cette manière, il tente de saper les espaces dont disposent les anarchistes et les antifascistes.
De manière récurrente, les fichiers policiers concernant les anarchistes et les antifascistes sont catégorisés CTER (Counter Terrorism, Extremism and Radicalisation) et la police compile des listes des gens qui participent aux activités anarchistes. Les services de renseignement observent même qui assiste aux procès. Ils ont tenté de recruter des informateurs, et des anarchistes ont été intimidés par les flics, chez eux ou dans la rue.
Le bourgmestre a toujours visé le même petit groupe d’anarchistes, mais il est important de se rendre compte que ce n’est pas juste une attaque contre des anarchistes, mais bien une attaque contre nous tous. Nous pensons qu’il est important de discuter du type de répression à laquelle les anarchistes de La Haye sont confrontés actuellement.
À cette fin, le bourgmestre a promulgué une interdiction de territoire contre un certain nombre d’anarchiste pour le Schilderswijk, un quartier d’immigration où une insurrection ayant duré plusieurs jours a éclaté après que la police ait assassiné Mitch Henriquez en 2015. Le bourgmestre a aussi demandé 50000 euros d’indemnités après l’expulsion du centre social De Vloek, squatté pendant 13 ans. Il essaye aussi de fermer le Centre Autonome. De cette manière, il tente de saper les espaces dont disposent les anarchistes et les antifascistes.
De manière récurrente, les fichiers policiers concernant les anarchistes et les antifascistes sont catégorisés CTER (Counter Terrorism, Extremism and Radicalisation) et la police compile des listes des gens qui participent aux activités anarchistes. Les services de renseignement observent même qui assiste aux procès. Ils ont tenté de recruter des informateurs, et des anarchistes ont été intimidés par les flics, chez eux ou dans la rue.
Le bourgmestre a toujours visé le même petit groupe d’anarchistes, mais il est important de se rendre compte que ce n’est pas juste une attaque contre des anarchistes, mais bien une attaque contre nous tous. Nous pensons qu’il est important de discuter du type de répression à laquelle les anarchistes de La Haye sont confrontés actuellement.
Jeudi 1 décembre – 19h30
Discussion: La transformation en cours à Bruxelles
De manière toujours plus évidente, les métropoles sont des champs de bataille. Leur configuration mêle plus ou moins intérêts et infrastructures sensibles du pouvoir en place d’une part et de possibles concurrents ou adversaires de l’autre. Il suffit de penser aux miséreux innombrables qui viennent s'entasser dans les quartiers pauvres et les ghettos métropolitains, chassés par le génocide capitaliste. Ce monde pourri continue bel et bien de produire des insatisfaits et des enragés, condamnés à une misère sans retour, prêts à s'insurger pour les raisons les plus variées. Et c’est vrai, ces indésirables ne peuvent pas rester de façon heureuse côte à côte avec tout ce qui permet techniquement la reproduction de l’existant.
À partir de là, l’exercice contemporain du pouvoir ne consiste pas à agir sur les causes et les manières d'empêcher les tensions sociales mais découle des tentatives de faire face à une situation toujours plus difficile à gérer, et d’en tirer profit. C'est sans doute dans ce cadre qu'il faut considérer le nouveau modèle de domination en train de naître, et qui vise à établir un contrôle généralisé et sans limite des individus. Aujourd’hui, chacun.e peut constater combien ce projet s'affirme dans toute sa force : multiplication d'outils de contrôle destinés à surveiller et pister les individus « inadaptés » ; omniprésence des cartes magnétiques qui permettent un fichage généralisé des achats, des déplacements, des habitudes ; restructuration du droit pour élargir le champ d’application de la législation antiterroriste ; réaménagement des espaces urbains pour les besoins policiers et de contrôle ; et j’en passe... Dans une métropole érigée toujours plus à l'image d'un camp de concentration hypertrophié.
Et comme de tels restrictions de la liberté (qui nous reste) ne peuvent être imposées et maintenues que par la force, il faut logiquement répandre l’acceptation de la violence d’Etat dans toutes les sphères de la vie sociale. C’est la déstabilisation de la société à travers la thèse de l’exception permanente qui va produire la légitimation des pouvoirs d’ « urgence » et s’imposer comme la nouvelle norme sociale. À l’instar de l’après 11 septembre 2001, la récente vague d’attentats en Europe a charrié avec elle les derniers prétextes du contrôle militaro-policier en continu. En fin de compte, le déploiement de militaires dans les rues n’est que la partie immergée du processus d’inclusion de la guerre dans le quotidien.
Pour tenter de bouleverser le cours des choses, il s’agit donc bien d’attaquer cette logique d’ensemble. Pour cela, il est aussi nécessaire d’approfondir les analyses et les recherches d’informations afin de mieux connaître l’ennemi que nous voulons combattre. Comme pour faire un saut avant de passer à l’action, portés par nos idées et nos aspirations de liberté.
Divers textes sur le sujet sont d’ores et déjà disponibles au local.
De manière toujours plus évidente, les métropoles sont des champs de bataille. Leur configuration mêle plus ou moins intérêts et infrastructures sensibles du pouvoir en place d’une part et de possibles concurrents ou adversaires de l’autre. Il suffit de penser aux miséreux innombrables qui viennent s'entasser dans les quartiers pauvres et les ghettos métropolitains, chassés par le génocide capitaliste. Ce monde pourri continue bel et bien de produire des insatisfaits et des enragés, condamnés à une misère sans retour, prêts à s'insurger pour les raisons les plus variées. Et c’est vrai, ces indésirables ne peuvent pas rester de façon heureuse côte à côte avec tout ce qui permet techniquement la reproduction de l’existant.
À partir de là, l’exercice contemporain du pouvoir ne consiste pas à agir sur les causes et les manières d'empêcher les tensions sociales mais découle des tentatives de faire face à une situation toujours plus difficile à gérer, et d’en tirer profit. C'est sans doute dans ce cadre qu'il faut considérer le nouveau modèle de domination en train de naître, et qui vise à établir un contrôle généralisé et sans limite des individus. Aujourd’hui, chacun.e peut constater combien ce projet s'affirme dans toute sa force : multiplication d'outils de contrôle destinés à surveiller et pister les individus « inadaptés » ; omniprésence des cartes magnétiques qui permettent un fichage généralisé des achats, des déplacements, des habitudes ; restructuration du droit pour élargir le champ d’application de la législation antiterroriste ; réaménagement des espaces urbains pour les besoins policiers et de contrôle ; et j’en passe... Dans une métropole érigée toujours plus à l'image d'un camp de concentration hypertrophié.
Et comme de tels restrictions de la liberté (qui nous reste) ne peuvent être imposées et maintenues que par la force, il faut logiquement répandre l’acceptation de la violence d’Etat dans toutes les sphères de la vie sociale. C’est la déstabilisation de la société à travers la thèse de l’exception permanente qui va produire la légitimation des pouvoirs d’ « urgence » et s’imposer comme la nouvelle norme sociale. À l’instar de l’après 11 septembre 2001, la récente vague d’attentats en Europe a charrié avec elle les derniers prétextes du contrôle militaro-policier en continu. En fin de compte, le déploiement de militaires dans les rues n’est que la partie immergée du processus d’inclusion de la guerre dans le quotidien.
Pour tenter de bouleverser le cours des choses, il s’agit donc bien d’attaquer cette logique d’ensemble. Pour cela, il est aussi nécessaire d’approfondir les analyses et les recherches d’informations afin de mieux connaître l’ennemi que nous voulons combattre. Comme pour faire un saut avant de passer à l’action, portés par nos idées et nos aspirations de liberté.
Divers textes sur le sujet sont d’ores et déjà disponibles au local.
Jeudi 15 décembre – 19h30
Présentation de livre/discussion: Vive la révolution, à bas la démocratie !
Janvier 1905, Saint-Pétersbourg, la police ouvre le feu contre une foule de manifestants. C'est le début d'une insurrection spontanée dans l'Empire tsariste qui va durer deux longues années, de la Finlande à la Géorgie et de la Pologne à la Sibérie... Des milliers d'attaques contre les flics et les militaires, des centaines de châteaux en flammes, des barricades dans les rues, des sabotages d'infrastructures, des grèves sauvages, des paysans qui prennent la terre, de l'auto-organisation avec
les premiers conseils ouvriers, et aucun parti ni syndicat (bolchévik ou socialiste-révolutionnaire) capable de prendre le contrôle de la situation.
A l'occasion de la dernière publication par des compagnons d'un livre sur les activités anarchistes en Russie avant 1917 (Vive la révolution, à bas la démocratie !, chez Mutines Séditions, octobre 2016), on pourrait discuter de ce que peuvent signifier des interventions anarchistes qualitatives dans un tel contexte de soulèvements ; de comment approfondir le contenu d'explosions sociales pour proposer
quelque chose de complètement différent, en agissant avant et pendant un tel processus révolutionnaire ? N'existe-t-il pas un autre horizon auquel on puisse aspirer, autre qu'un meilleur capitalisme ou une meilleure démocratie ?
Janvier 1905, Saint-Pétersbourg, la police ouvre le feu contre une foule de manifestants. C'est le début d'une insurrection spontanée dans l'Empire tsariste qui va durer deux longues années, de la Finlande à la Géorgie et de la Pologne à la Sibérie... Des milliers d'attaques contre les flics et les militaires, des centaines de châteaux en flammes, des barricades dans les rues, des sabotages d'infrastructures, des grèves sauvages, des paysans qui prennent la terre, de l'auto-organisation avec
les premiers conseils ouvriers, et aucun parti ni syndicat (bolchévik ou socialiste-révolutionnaire) capable de prendre le contrôle de la situation.
A l'occasion de la dernière publication par des compagnons d'un livre sur les activités anarchistes en Russie avant 1917 (Vive la révolution, à bas la démocratie !, chez Mutines Séditions, octobre 2016), on pourrait discuter de ce que peuvent signifier des interventions anarchistes qualitatives dans un tel contexte de soulèvements ; de comment approfondir le contenu d'explosions sociales pour proposer
quelque chose de complètement différent, en agissant avant et pendant un tel processus révolutionnaire ? N'existe-t-il pas un autre horizon auquel on puisse aspirer, autre qu'un meilleur capitalisme ou une meilleure démocratie ?
***
Reunion mensuelle de La Lime (caisse de solidarité bruxelloise)
Lundi 5 décembre à 19h30
• Un espace de discussions et de réflexions collectives directement liées aux luttes.
• Un moment où l’on peut parler de la répression en générale et des moyens autonomes que nous sommes capables de mettre en place pour faire face à ces situations qui nous sont imposées.
• Un endroit où l’on peut venir partager ses derniers soucis avec la police ou la justice et trouver du soutien ou de la solidarité.
• Une caisse de soutien pour payer des mandats à d’éventuels détenus,mais aussi partager des conseils par rapport aux tracasseries techniques (avocats, parloirs, suivis des affaires,...)
Pour tout contact:
lalime@riseup.net
lalime.noblogs.org
~ Nederlands ~
Donderdag 10 november – 19u30
Discussie over repressie tegen anarchisten en antifascisten in Den Haag
In de laatste jaren krijgen anarchisten en antifascisten in Den Haag steeds meer te maken met repressie. Veel van de repressieve maatregelen zijn rechtstreeks van het bureau van de burgemeester afkomstig.
Zo vaardigde de burgemeester een wijkverbod uit voor verschillende anarchisten in de Schilderswijk, een migrantenwijk waar in 2015 een opstand van enkele dagen woedde na de politiemoord op Mitch Henriquez. De burgemeester eist ook 50.000 euro schadevergoeding na de ontruiming van sociaal centrum De Vloek, dat 13 jaar lang gekraakt was. Hij probeert verder ook om het Autonoom Centrum te sluiten. Zo wil hij de structuren breken die door anarchisten en antifascisten gebruikt worden.
Politiedossiers over anarchisten en antifascisten worden stelselmatig gelabeld met de CTER code (Counter Terrorism, Extremism and Radicalisation) en de politie houdt lijsten bij van mensen die deelnemen aan anarchistische activiteiten. Zelfs tijdens rechtszaken is aan het licht gekomen dat de inlichtingendiensten in het oog hielden wie aanwezig was in de rechtszaal. Er werd geprobeerd om informanten te rekruteren en anarchisten werden thuis en op straat geïntimideerd door de politie.
Hoewel de burgemeester steeds dezelfde kleine groep anarchisten in het vizier heeft, moet het duidelijk zijn dat dit een aanval is op ons allemaal. Wij denken dat het belangrijk is om te discussiëren over het soort repressie waar anarchisten in Den Haag mee geconfronteerd worden.
Donderdag 1 december – 19u30
Discussie: Transformaties die aan de gang zijn in Brussel
Op een steeds meer duidelijke manier worden de metropolen slagvelden. Hun configuratie combineert langs de ene kant gevoelige belangen en infrastructuren van de heersende macht en langs de andere kant mogelijke tegenstanders ervan. Het volstaat om de denken aan de talloze miserabelen die zich opstapelen in de arme wijken en getto’s van de grootstad, weggejaagd door de kapitalistische genocide. Deze rotte wereld blijft woedende en onvoldane mensen produceren, die zijn veroordeeld tot een miserie zonder weerga en die in staat zijn om in opstand te komen omwille van zeer gevarieerde motieven. En het is waar dat deze ongewensten niet zonder boe of ba kunnen blijven leven naast alles wat technisch gezien zorgt voor de reproductie van het bestaande.
Hieruit volgt dat de uitoefening van de macht vandaag niet is gericht op de manieren waarop sociale spanning kan worden vermeden, maar op het omgaan met een situatie die steeds moeilijker te beheren valt, en om er winst uit te halen. Het is zonder twijfel in deze context dat we het nieuwe model van de overheersing moeten zien, dat een totale en ongelimiteerde controle over de individuen probeert te installeren. Vandaag kan iedereen zien hoe dit project zich met volle kracht ontwikkelt: vermenigvuldiging van controle-instrumenten om “onaangepaste” individuen in het oog te houden; alomtegenwoordigheid van chipkaarten die het toelaten om alle aankoopgedrag, verplaatsingen, gewoontes op te lijsten; herstructurering van het recht om het toepassingsveld van de antiterroristische wetgeving te verbreden; herinrichting van de stedelijke ruimte naar de noden van de politie en de controle; enz. De metropool voldoet steeds meer aan het beeld van een concentratiekamp. En aangezien zulke inperkingen van de vrijheid (die ons rest) enkel kunnen worden opgelegd en behouden doormiddel van brute kracht, moet de acceptatie van staatsgeweld zich logischerwijs verspreiden. Het is de destabilisering van de maatschappij d.m.v. de these van de permanente uitzondering die de legitimering geeft aan de noodtoestand om zich als nieuwe sociale norm op te leggen. Net zoals na 11 september 2001, bracht de recente golf van aanslagen het perfecte excuus voor de continue militair-politionele controle. Uiteindelijk is het ontplooien van militairen op straat niets anders dan de kers op de taart van het proces van inclusie van oorlog in het dagelijks leven.
Hieruit volgt dat de uitoefening van de macht vandaag niet is gericht op de manieren waarop sociale spanning kan worden vermeden, maar op het omgaan met een situatie die steeds moeilijker te beheren valt, en om er winst uit te halen. Het is zonder twijfel in deze context dat we het nieuwe model van de overheersing moeten zien, dat een totale en ongelimiteerde controle over de individuen probeert te installeren. Vandaag kan iedereen zien hoe dit project zich met volle kracht ontwikkelt: vermenigvuldiging van controle-instrumenten om “onaangepaste” individuen in het oog te houden; alomtegenwoordigheid van chipkaarten die het toelaten om alle aankoopgedrag, verplaatsingen, gewoontes op te lijsten; herstructurering van het recht om het toepassingsveld van de antiterroristische wetgeving te verbreden; herinrichting van de stedelijke ruimte naar de noden van de politie en de controle; enz. De metropool voldoet steeds meer aan het beeld van een concentratiekamp. En aangezien zulke inperkingen van de vrijheid (die ons rest) enkel kunnen worden opgelegd en behouden doormiddel van brute kracht, moet de acceptatie van staatsgeweld zich logischerwijs verspreiden. Het is de destabilisering van de maatschappij d.m.v. de these van de permanente uitzondering die de legitimering geeft aan de noodtoestand om zich als nieuwe sociale norm op te leggen. Net zoals na 11 september 2001, bracht de recente golf van aanslagen het perfecte excuus voor de continue militair-politionele controle. Uiteindelijk is het ontplooien van militairen op straat niets anders dan de kers op de taart van het proces van inclusie van oorlog in het dagelijks leven.
Om deze gang van zaken omver te werpen is het dus nodig om deze logica in haar geheel aan te vallen. Daarom is het ook noodzakelijk om analyses en informatieverzameling te verdiepen, om zo de vijand die we willen bestrijden beter te kennen. Om een sprong te maken alvorens tot actie over te gaan, gedragen door onze ideeën en onze aspiratie naar vrijheid.
Over dit thema zijn verscheidene teksten beschikbaar in het lokaal.
Donderdag 15 december – 19u30
Boekvoorstelling/discussie: Leve de revolutie, weg met de democratie!
Januari 1905. In Sint-Petersburg opent de politie het vuur op een betogende mensenmassa. Het is het begin van een spontane opstand in het tsaristische rijk die twee lange jaren zal woeden van Finland tot Georgië en van Polen tot Siberië… Duizenden aanvallen tegen de flikken en militairen, honderden kastelen in vlammen, barricades in de straten, sabotage tegen infrastructuren, wilde stakingen, boeren die het land innemen, zelforganisatie met de eerste arbeidersraden, en geen enkele partij of vakbond (bolsjewistisch of sociaalrevolutionair) die erin slaagt om de situatie te controleren.
Naar aanleiding van de publicatie van een boek over anarchistische activiteiten in Rusland voor 1917 door kameraden (Vive la révolution, à bas la démocratie !, Mutines Séditions, oktober 2016), zouden we kunnen discussiëren over wat kwalitatieve interventies van anarchisten in zulke context van opstand kunnen betekenen; over hoe de inhoud van sociale explosies te kunnen verdiepen om iets totaal anders voor te stellen, door voor en tijdens zo’n revolutionair proces te handelen. Bestaat er een andere horizon waar we naar kunnen streven? Anders dan een beter kapitalisme of een betere democratie?
***
Maandelijkse vergadering van La Lime (Brusselse solidariteitskas)
maandag 5 december om 19u30
• een ruimte voor collectieve discussies en bedenkingen direct verbonden met de strijd
• een moment om te praten over repressie in het algemeen en over de autonome middelen die we kunnen gebruiken om het hoofd te bieden aan deze situaties die ons opgelegd
• een plek om je laatste problemen met politie of justitie te komen delen en steun of solidariteit te vinden
• een solidariteitskas om geld te kunnen sturen naar eventuele gevangenen, maar ook om raadgevingen te delen over technische rotzooi (advocaten, bezoek, opvolging van onderzoeken,…)
Voor alle contact : lalime@riseup.net // lalime.noblogs.org
• een moment om te praten over repressie in het algemeen en over de autonome middelen die we kunnen gebruiken om het hoofd te bieden aan deze situaties die ons opgelegd
• een plek om je laatste problemen met politie of justitie te komen delen en steun of solidariteit te vinden
• een solidariteitskas om geld te kunnen sturen naar eventuele gevangenen, maar ook om raadgevingen te delen over technische rotzooi (advocaten, bezoek, opvolging van onderzoeken,…)
Voor alle contact : lalime@riseup.net // lalime.noblogs.org





