Belgium Brussels Urgent La maxi-prison ne sera pas construite sur notre résignation !

Ce samedi 13 juin : Point d’info au Passage

Suite aux perquisitions ciblant une approche autonome, auto-organisée et 
basée sur l’action directe pour empêcher la construction d’une 
maxi-prison, un Point d’info est prévu ce samedi 13 juin à 17h au 
Passage (rue Rossini 11 à Anderlecht).

Une occasion pour en discuter, partager les infos et réfléchir à des 
initiatives afin de continuer la lutte contre la construction de la 
maxi-prison, ainsi que de soutenir tout ceux et toutes celles qui 
cherchent à lutter sur différents terrains mais toujours de façon 
autonome et auto-organisée contre ce qui nous opprime.
Dimanche 14 juin 13h - métro Clémenceau (anderlecht - proximité gare du  midi) RASSEMBLEMENT SOLIDAIRE AVEC LA LUTTE CONTRE LA MAXI-PRISON ET TOUT CEUX  ET CELLES QUI SE BATTENT CONTRE LE POUVOIR. Parce que le combat contre la construction d’une maxi prison dans cette  ville qui court vers toujours plus de contrôle et de répression, est une  lutte auto-organisée et autonome. Elle sort du cadre légal imposé pour s’attaquer directement à ceux qui veulent la construire et à leur  logique. Par la parole et l’action directe, par le sabotage et la manif  sauvage, à beaucoup et à quelques uns, de jour comme de nuit. Parce qu’on soit à l’office des étrangers, dans les bureaux de l’ONEM, à l’école, au boulot, en taule ou psychiatrisé, il est assez clair que nos  vies nous sont volées et que le conflit est inévitable si nous désirons  reprendre nos vies en main. Parce que si la police antiterroriste a fait des perquisitions dans  quatre maisons de compagnonnes et au Passage, point de coordination dans  la lutte contre la maxi prison ce mercredi dernier, c’est pour semer la  peur et freiner ces combats – mais il est hors de question que nous  retournions à la maison : nous ne baisserons pas les bras. Parce que la meilleure défense c’est l’attaque, face à la volonté du  pouvoir de faire de la ville une prison à ciel ouvert, c’est en semant  le trouble dans leurs moyens de nous contrôler que nous continuerons d’agir. Parce que face aux horreurs du pouvoir, aux massacres qu’il commet, à l’exploitation sur laquelle il repose et à l’enfermement auquel il  condamne toujours plus de gens, affirmons la joie de lutter librement,  la fierté des idées qui s’opposent à leur monde et la solidarité entre ceux et celles qui chérissent  toujours le rêve d’un monde débarrassé du pouvoir. (PS : Journaliste ? Politicien ? Reste chez toi !)