Publié le 6 février 2012 sur le site palestine-info.co.uk
RAMALLAH, (CIP) - Un comité spécial israélien formé pour étudier les violations des accords d'échange des prisonniers entre le Hamas et Israël a prétendu que l'un des captifs libérés lors de "l'accord Shalit" avait violé les conditions de sa libération.
Des sources de défense des droits de l'homme a déclaré au CPI que le "Comité Shalit" a déposé dimanche 5 février, une demande auprès du tribunal militaire d'Ofer pour permettre l'arrestation de Ayman Sharawne âgé de 33 ans.
Le Comité a déclaré que Sharawne avait violé les conditions de sa libération et devrait être de retour en prison pour y purger le restant de sa peine. L'ex-prisonnier avait purgé 10 des 28 années que comptait sa condamnation.
Les sources ont indiqué que le Comité n'a présenté aucune déclaration publique à la cour mais qu'il a plutôt fait savoir qu'il possède des informations des renseignements secrets sur la question.
Ils ont dit que l'occupation israélienne avait ordonné à Sharawne de rencontrer l'officier des renseignements de sa région une fois tous les deux mois, de ne pas quitter son lieu de résidence durant les trois ans à venir, et de ne commettre aucune violation de la sécurité durant les 18 dernières prochaines années suivant sa condamnation.
La police israélienne avait interrogé Sharawne récemment et l'a accusé d'avoir quitté Al-Khalil sans autorisation des services de renseignements et d'être entré en contact avec des ex-prisonniers déportés dans la bande de Gaza et dans les pays étrangers. Ce dernier a nié toutes les accusations.
La demande du Comité israélien sera examinée lors d'une audience qui aura lieu le 13 février prochain.
Des sources de défense des droits de l'homme a déclaré au CPI que le "Comité Shalit" a déposé dimanche 5 février, une demande auprès du tribunal militaire d'Ofer pour permettre l'arrestation de Ayman Sharawne âgé de 33 ans.
Le Comité a déclaré que Sharawne avait violé les conditions de sa libération et devrait être de retour en prison pour y purger le restant de sa peine. L'ex-prisonnier avait purgé 10 des 28 années que comptait sa condamnation.
Les sources ont indiqué que le Comité n'a présenté aucune déclaration publique à la cour mais qu'il a plutôt fait savoir qu'il possède des informations des renseignements secrets sur la question.
Ils ont dit que l'occupation israélienne avait ordonné à Sharawne de rencontrer l'officier des renseignements de sa région une fois tous les deux mois, de ne pas quitter son lieu de résidence durant les trois ans à venir, et de ne commettre aucune violation de la sécurité durant les 18 dernières prochaines années suivant sa condamnation.
La police israélienne avait interrogé Sharawne récemment et l'a accusé d'avoir quitté Al-Khalil sans autorisation des services de renseignements et d'être entré en contact avec des ex-prisonniers déportés dans la bande de Gaza et dans les pays étrangers. Ce dernier a nié toutes les accusations.
La demande du Comité israélien sera examinée lors d'une audience qui aura lieu le 13 février prochain.
Traduction CCY